Les taux bas des crédits à l’habitat sont une véritable occasion de réaliser un achat immobilier. Mais cette situation va-t-elle durer ?
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Les taux bas des crédits à l’habitat sont une véritable occasion de réaliser un achat immobilier. Mais cette situation va-t-elle durer ?
Les courtiers se positionnent comme étant une source de financement phare, notamment chez les jeunes. Les emprunteurs sollicitent de plus en plus ces professionnels plutôt que de passer directement par un établissement bancaire.
La loi portant sur la domiciliation bancaire oblige les clients à immobiliser leur compte alors que les autorités entendent à renforcer la mobilité des clients. Un véritable euphémisme qui vient de prendre fin.
Les banques n’ont pas de réticence à accorder un crédit immobilier après 60 ans si les ressources financières le permettent. Toutefois, l’assurance emprunteur peut vite barrer les espoirs pour les plus âgés, à moins d’envisager une délégation d’assurance.
La location avec option d’achat s’attaque au marché de l’immobilier. A l’instar d’une auto, il est possible d’acheter un logement en leasing.
Après une reconduction confirmée jusqu’en 2021, l’éco-PTZ connaît une année charnière en 2019 où il doit assouplir drastiquement ses conditions d’éligibilité depuis le 1er mars.
Les Français n’hésitent pas à augmenter leur durée d’emprunt immobilier pour s’offrir le bien idéal. Les taux bas concourent à cette bonne dynamique.
Malgré une hausse des prix observée, la dynamique suivie par le marché de l’immobilier n’a pas faiblit en 2018.
Le Premier ministre devrait présenter aujourd’hui de nouvelles pistes pour agrandir la concurrence entre les syndics. De quoi ranimer la flamme entre les copropriétaires et leur syndic.
Malgré une augmentation quasi généralisée des prix, le marché de l’immobilier s’est bien porté en 2018. Notamment grâce aux taux d’intérêt attractifs.
Le PTZ est en perte de vitesse après les remaniements effectués par le gouvernement qui rendent plus difficile son accès.
La domiciliation des revenus demandée par un prêteur lors d’une négociation de crédit fait l’objet de critiques. Le manque de transparence sur les avantages alloués est en partie en cause.
Les statistiques vont à l’encontre des pensées qui rapprochent généralement la possession d’un logement et un niveau de vie élevé puisque deux tiers des propriétaires proviennent de la classe moyenne.
Le marché de la pierre neuve n’a pas fait recette en 2018. Les Français se sont montrés plus hésitant à se lancer dans la construction. Faute de moyens ?
Selon les chiffres publiés par la Banque de France, les établissements bancaires tricolores ont accordé 203 milliards d’euros de prêt immobilier aux particuliers. Cette production est très loin des 273 milliards d’euros de 2017.
Permettant aux emprunteurs modestes de financer leur acquisition immobilière, les crédits immobiliers de longue durée restent encore très proposés par les établissements bancaires.
Les emprunteurs disposent d’un revenu moyen de plus en plus bas expliqué par une facilité d’accès au crédit pour un plus large panel de profils.
Le PTZ version 2019 reste similaire dans les grandes lignes à l’année précédente. Mais 2020 risque de changer considérablement la donne.
Dans une logique de soutien au marché de la pierre, les établissements bancaires acceptent désormais plus facilement les crédits immobiliers sans apport personnel.
La justice a condamné un emprunteur d’un crédit à l’habitat qui a sciemment berné sa banque. La demande d’un remboursement unique de la somme, demandé par le professionnel, a été confirmée par la Cour de cassation.
Les résidences services pour étudiants ou pour sénior ont un véritable vivier de clients potentiels. Pour les investisseurs, cela se réalise en ayant recours à une résidence gérée.
Les taux d’emprunt ont terminé l’année précédente avec une stabilité à toute épreuve.
L’année 2018 s’est conclue avec une statistique encore jamais vue démontrant l’appétence de la population à devenir propriétaire d’un bien immobilier.
Le nouveau plan de l’organisme Action Logement se concentre sur les salariés modestes qui doivent faire des kilomètres pour travailler. L’objectif du plan est de favoriser la mobilité professionnelle.
Le marché de l’immobilier termine sa course avec une note moyenne en 2018 malgré les taux bas. La hausse des prix et l’affaiblissement du pouvoir d’achat des ménages peuvent l’expliquer.
Les durées des prêts immobiliers augmentent afin de permettre aux emprunteurs d’accéder à un capital plus important en réponse à la hausse des prix.
Les adeptes de mises en location touristique entre particuliers devront limiter cette pratique à 120 jours par année.
Les taux d’usure continuent de diminuer sous l’impulsion de la Banque de France. Les TAEG pour les crédits immobiliers ne pourront dépasser la plupart du temps le seuil des 3%. En revanche, les baisses des taux d’usure pratiquées sur les crédits à la consommation restent plus mesurées.
La nouvelle année approchant, de nouveaux projets pourront être envisagés voire réalisés, parmi eux : l’achat d’un bien immobilier.
Encore juvénile, l’IFI peut s’avérer méconnue auprès des contribuables. Retour sur son fonctionnement et sur ses obligations.
Dès le 1er janvier 2018, l’administration fiscale appuiera sur le bouton de mise en marche du prélèvement à la source. Une entrée en matière redoutée par les ménages ayant un projet de financement pour acquérir un habitat. Mais la confusion devrait être purement mentale.
Du prix du mètre carré au nombre de transactions en passant par les marges de négociation, la quasi-totalité des indicateurs du marché immobilier français ralentissent depuis quelques semaines, voire plusieurs mois. Cette tendance va-elle durer ? Voici quelques éléments de réponse.
Les changements de fenêtre pourraient faire leur retour au sein du CITE. Mais s’agit-il d’un simple effet d’annonce ?
Les taux d’intérêt des prêts à l’habitat devraient se maintenir au moins pour une première partie de 2019.
Une délégation d’assurance nécessite de respecter des étapes précises. Retour sur les informations essentielles à intégrer pour changer sereinement d’assurance pour son crédit immobilier.
Les transactions du marché de la pierre ont connu un réel dynamisme au cours des derniers mois. Les résultats s’annoncent bons pour les spécialistes du marché.
Les inégalités de patrimoine se creusent en France en 2018, alors que les retraités sont de moins en moins nombreux à être propriétaires.
Outre les critères purement esthétiques, la performance énergétique d’un bien immobilier est un élément déterminant. Nombreux sont les acheteurs à rechercher un logement sain et économique en consommation d’énergie. Ces conditions remplies, les prix peuvent évoluer fortement à la hausse.
Selon les réseaux d’intermédiaire bancaire, les ménages Français devraient moins s’endetter en 2019, notamment à cause de la remontée des taux d’intérêt conjuguée à la hausse des prix. Les critères d’octroi devraient, toutefois, faire l’objet de statu quo.
Selon une étude de la Banque centrale européenne, les banques ne prévoient pas de durcir les conditions d’octroi d’un crédit immobilier et les taux d’intérêt resteront bas.
La pierre attire toujours les Français. Pour attirer une clientèle qui profite des taux bas, les propriétaires n’hésitent pas à réviser le prix de leur bien à la baisse.
Afin de suivre l’évolution digitale et de s’adapter aux changements des modes de vie, de plus en plus d’établissements bancaires proposent de finaliser une demande de crédit immobilier avec la signature électronique. Cependant, quelle est la réglementation de cette nouveauté ? Quels sont ses atouts et ses limites ?
Une étude récente remet en cause l’efficacité réelle des travaux de rénovation sur la consommation d’énergie. Un constat peu reluisant pour les propriétaires ayant consenti à des efforts financiers importants et dont la valeur ajoutée des travaux ne se fait pas suffisamment ressentir.
Permettant de financer gratuitement à crédit une partie d’un achat immobilier sous certaines conditions, le prêt à taux zéro version 2019 (PTZ 2019) a enregistré une baisse de 30 % au deuxième trimestre 2018 par rapport à la même période un an plutôt.
Les cotisations salariales pour l’assurance chômage disparaissent complètement au 1er octobre. Cela va permettre une légère augmentation des rémunérations des salariés du privé. Un gain de pouvoir d’achat qui pourrait réduire le coût des crédits immobiliers en cours sous certaines conditions.
Peinant à suivre la hausse des prix du mètre carré, de plus en plus d’emprunteurs optent désormais pour les crédits immobiliers sur une longue durée, notamment sur les 35 ans. Cependant, faut-il se méfier de ces emprunts ?
Comme chaque année, les propriétaires sont redevables de l’impôt foncier. Alors que la taxe d’habitation poursuit sa baisse progressive jusqu’à sa suppression totale d’ici 2021, les localités risquent de répercuter les pertes sur cette taxe. Déjà très coûteuse, il existe néanmoins des situations qui permettent de la diminuer, voire de la supprimer totalement.
Une fois que la décision de vendre son logement est prise, vient alors la phase de fixation de son prix. Une étape qui n’est pas toujours aisée et qui demande d’étudier en profondeur les caractéristiques du bien. Retour sur les critères à cibler.
Un crédit immobilier sur une longue durée permet d’adapter le montant de la mensualité avec les revenus d’un ménage. Mais il faut garder un œil sur le coût total de l’opération.
Le gouvernement a présenté les premières esquisses de la refonte de l’éco-PTZ. Une démarche qui s’inscrit dans le projet de loi de finances 2019. Le projet, en attente d’un débat parlementaire, est susceptible de bénéficier de modifications mais les grandes lignes sont déjà perceptibles. Retour sur les changements apportés par la loi.
En cas de projet d’acquisition d’un bien immobilier, il faut être en capacité de négocier les conditions d’emprunt. L’objectif est de trouver des arguments sur différents points en mesure de diminuer les exigences de la banque et de mettre toutes ses chances de son côté.
Dans l’optique de recevoir les meilleures conditions pour sa demande de crédit immobilier auprès d’une banque, l’emprunteur doit savoir mettre en avant ses caractéristiques. L’étude d’un projet de financement s’élabore par le biais de son profil, qui peut être un moyen de pression pour négocier le prêt à son avantage.
Selon les différents baromètres, le marché immobilier a pris un sacré coup de froid ces derniers mois. Le nombre de transactions et celui des permis de construire accordés ont également reculé. S’agit-il du début de la fin d’un cycle d’or du marché immobilier ?
Si le marché du crédit immobilier continue de battre des records avec des offres de plus en plus diversifiées, il faut savoir que les banques accordent encore des taux d’intérêt inédits aux profils emprunteurs qu’elles jugent intéressants. Cependant, qui sont les nouveaux chouchous des banques ?
Les taux de rendement de l’investissement locatif affichent de beaux résultats. Mais toutes les villes ne sont pas logées à la même enseigne.
Avec 2,8 % de progression, les prix du marché ont vu leur hausse ralentir au deuxième trimestre 2018. Les acheteurs restent toutefois présents sur le marché
Le souhait de devenir propriétaire est une étape de vie importante pour beaucoup de ménages. C’est un objectif qui se planifie en amont, bien avant de débuter les premières phases de recherche. Retour sur les étapes et sur le temps nécessaire pour assouvir son besoin d’acquérir un bien immobilier ancien.
Le nombre de permis de construire délivrés a reculé entre mai et juillet 2018. Le marché de la construction ralentit légèrement.
L’Etat a récolté plus de 32 milliards d’euros en 2017 grâce aux recettes issues du marché immobilier. La baisse des taux d’intérêt et l’attractivité du marché ont joué un rôle déterminant.
A partir du 1er janvier 2019, l’impôt sur le revenu sera prélevé à la source. Ce nouveau type de recouvrement de l’impôt pourrait avoir des effets pervers sur les conditions d’octroi des crédits immobiliers accordés aux particuliers.
Certes, les taux d’intérêt moyens des crédits immobiliers accordés aux particuliers n’ont pas encore atteint le record de fin 2016 (1,33 % sans garantie), mais ils ont été divisés par 4 en seulement 17 ans.
Certes, les conditions de crédit immobilier sont particulièrement attractives depuis le début de l’année, mais pour prétendre aux meilleurs taux en vigueur, il est important de présenter un apport personnel conséquent. Voici quelques astuces pour augmenter son apport.
Les villes moyennes ne subissent pas de plein fouet la hausse de l’immobilier. Au contraire les prix y sont abordables. Cependant, l’attractivité économique n’y est pas des plus intéressantes.
Les Français ont actuellement plus 1000 milliards d’encours de prêt immobilier. Les taux bas ont favorisé l’accès au crédit.
Le nombre d’années de salaires nécessaires pour acheter un bien immobilier est un indicateur du marché. Dans l’Hexagone, des disparités persistent entre les métropoles et les zones rurales.
Dans le contexte actuel marqué par des taux d’intérêt particulièrement attractifs, les établissements bancaires accordent des décotes supplémentaires aux profils emprunteurs les plus rentables pour eux, à savoir les trentenaires et les primo-accédants.
Un prêt immobilier s’accompagne obligatoirement de la souscription d’une assurance emprunteur. Cette couverture assure à l’établissement prêteur de récupérer le capital restant dû en cas de défaillance de l’emprunteur. La garantie décès fait partie des garanties obligatoires. Explications.
Le coût total des projets immobiliers financés par emprunt s’établit à 4,8 années de revenus au deuxième trimestre 2018, soit une progression de 5 % par rapport à la même période en 2017.
Acheter un bien immobilier pour la première fois implique un effort financier souvent considérable. Pour que le coup de cœur ne se transforme pas en mauvais rêve, voici ce qu’il faut retenir avant de sauter le pas.
Le taux d’intérêt moyen pour réaliser un crédit immobilier auprès d’une banque baisse encore, à 1,44 %, sans garanties et toutes durées confondues, selon les récents chiffres publiés par l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Du jamais vu depuis fin 2016.
En juillet, certaines banques ont opté pour le statu quo, quand d’autres lancent des opérations spéciales avec des taux casés. De fait, s’endetter pour un achat immobilier reste encore très bon marché.
L’achat d’un bien immobilier se complique pour les personnes célibataires. En effet, les banques privilégient les couples qui leur apportent une garantie de stabilité financière. Pour autant, contracter un prêt immobilier en étant célibataire n’est pas impossible. Explications.
Il est plus facile de négocier un appartement à Reims qu’à Paris. Mais pour réduire le prix d’une maison, il vaudra mieux acheter en Normandie.
Après des mois qui se prêtaient moins à la négociation, il semblerait qu’elle soit de nouveau de mise surtout pour les biens individuels. Pour les achats d’appartement, la marge est plus faible.
Le contrat de travail à durée indéterminé demeure le Graal pour obtenir un prêt immobilier. Pour les CDD, la situation s’avère plus compliquée.
Le projet d’augmenter la part des frais de notaire destinés aux départements d’ici 2019 ne verra pas le jour. Le Premier ministre est revenu dessus.
Selon les chiffres de l’Observatoire Crédit Logement/CSA, les taux d’intérêt ont encore reculé le mois dernier pour atteindre 1,46 % en moyenne. Cependant, en prenant en compte le niveau de l’inflation (+1,36 % sur un an), le taux d’intérêt réel s’établirait à 0,13 %. A ce rythme, les Français pourraient bientôt bénéficier de taux d’intérêt réels négatifs.
Nos voisins d’Outre-Manche sont présents dans 25 % des transactions opérées par un acheteur étranger. La Dordogne reste leur département favori.
Selon un sondage, les trentenaires sont les plus nombreux à concrétiser une acquisition immobilière. Les jeunes estiment que la tranche des 25-34 ans est la plus intéressante.
Selon les statistiques mensuelles de l’association Française des sociétés financières, la production de crédit à la consommation par les établissements spécialisés a fortement augmenté en avril 2018.
En moyenne, les Français s’intéressent aux logements qui se situent à près d’une demi-heure de leur lieu de travail.
Les Françaises et les Français achètent le même genre de bien et présentent le même type de profil en région parisienne.
En 2017, les encours des prêts à l’habitat accordés aux particuliers ont progressé de 4,3 % en moyenne sur un an dans les 28 pays de l’Union Européenne. Dans l’Hexagone, la progression constatée est de 6 %. Cela fait de la France la championne d’Europe en la matière.
Les candidats à la propriété ne boudent pas le marché immobilier. Au contraire, ils constituent la majorité des emprunteurs.
Le crédit d’impôt pour la transition énergétique va laisser place à une prime versée au départ des travaux. Mais son mode de calcul va changer.
Selon les annonces du ministère de la Cohésion des territoires, les mises en chantier de logements neufs ainsi que le nombre de permis de construire au cours du premier trimestre 2018 ont baissé par rapport à la même période de 2017.
Profitant de la baisse des taux des prêts immobiliers, le marché résidentiel secondaire attire les investisseurs. Ces derniers ont une préférence pour le littoral français.
Face à la dynamique du crédit aux professionnels et aux particuliers, les autorités pourraient demander aux établissements prêteurs d’avoir plus de fonds propres, selon le gouverneur de la Banque de France.
Selon un réseau d’agences immobilières, plus de 8 logements sur 10 consomment trop d’énergie en France. Une mauvaise isolation en est la première responsable.
Selon une récente étude, près de 9 locataires sur 10 ayant un projet d’achat immobilier disent avoir besoin d’un crédit immobilier. Le prêt bancaire est ainsi devenu un puissant moteur pour financer l’acquisition d’un logement.
Le Premier ministre propose d’augmenter le plafond des frais de notaires qui sont fixés par les départements. Une hausse des droits de mutation pourrait entamer le pouvoir d’achat immobilier.
A l’échelle européenne, la France se hisse sur le podium des pays où les encours de crédit immobilier sont les plus importants. L’attractivité des taux est en partie responsable de ce dynamisme.
Considérée comme l’une des clauses les plus avantageuses pour les emprunteurs, la transférabilité du prêt immobilier est de moins en moins accordée par les établissements prêteurs. Pourquoi les banques rechignent à accorder cette option ? Quelles sont ses modalités ? Voici quelques éléments de réponse en infographie.
Selon une récente étude, les Français sont les champions d’Europe du prêt immobilier avec une hausse de 6 % en un an, contre 4,3 % pour l’ensemble de la zone Euro. Une tendance qui inquiète particulièrement le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF).
Selon les réseaux d’intermédiaire bancaire, les établissements prêteurs sont de plus en plus regardants sur le profil des demandeurs de crédit immobilier. Quels sont les éléments examinés à la loupe ?
Le mois de mai se caractérise par des baisses des taux immobiliers. En effet, ceux-ci sont 0,05 % plus bas par rapport au mois dernier, selon les récentes statistiques Comment expliquer cette baisse ?
Les projets immobiliers des Français sont boostés par des conditions de prêt exceptionnelles. En effet, il n’a jamais été aussi facile d’emprunter.
Certes, le marché de l’immobilier se porte bien en France, mais il devient de plus en plus difficile de devenir propriétaire pour la première fois, notamment à cause des réformes fiscales ou de la réforme du PTZ.
Consulter les annonces immobilières n’est pas réservé qu’aux acheteurs. Pour certains, il s’agit de mesurer le marché voire de rêver.
Le nombre de mètre carré qu’il est possible d’acheter en fonction d’un capital est en train de reculer au niveau national. Mais cela touche plus particulièrement les villes attractives économiquement.